« Vous pouvez vous trouver n’importe où sur terre, vous serez toujours avec votre esprit. Votre pire ennemi ne peut pas vous faire autant de mal que vos propres pensées non surveillées ».

En prenant soin de vos pensées, la voix dans votre tête, vous pouvez vous rendre malade, ou vous pouvez faire de votre vie un « paradis ». Il « suffirait » d’un changement de perspective pour que vous soyez en paix.

Il y a une voix joyeuse et il y a une voix triste

C’est souvent nos croyances limitantes qui nous font nous sentir bloqués où l’on est dans la vie et qui augmentent notre sensation de manque ou de mal-être. Notre esprit s’inquiète 99% du temps sur des choses qui ne se sont pas passées ou qui ne vont pas se dérouler.

Il y a deux voix dans notre mental. L’une est inférieure à l’autre car elle est la plupart du temps stressante et limitante. Elle nous fait seulement voir ce qu’il y a devant nos yeux.  C’est la plus accessible et c’est celle que l’on utilise le plus fréquemment tandis que la voix supérieure est celle qui a toutes les solutions à nos problèmes. C’est celle qui voit les choses en grand (dans la toile et à l’extérieur de la toile) et c’est celle qui nous permet d’avoir de la créativité, de nous sentir joyeux à la demande, d’écouter notre intuition, etc. Elle est très difficile à écouter au départ car elle s’écoute avec le silence et nous n’avons jamais appris à écouter dans le silence. (Si vous n’avez jamais entendu cette phrase par exemple, cela peut vous sembler très bizarre de découvrir que l’on peut apprendre dans le “silence” et ça l’était pour moi également mais lorsque les pensées s’estompent, un calme apparaît et il est plus facile d’entendre notre mental supérieur).

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La porte d’entrée (oubliée) du bien-être.

Le souffle est un trésor caché dont les gens n’ont pas conscience.

Le souffle contrôlé et maîtrisé n’est pas un thème à succès car il serait inintéressant voire “anti-économique” pour les marchés de la santé notamment les marchés pharmaceutiques.

Peu de promotion et de publicité ont donc été faites dessus car la respiration est totalement gratuite.

Etant donné que nous n’avons pas été conditionné depuis notre plus jeune âge à penser à la respiration et aux bienfaits qu’elle procure (et je ne l’ai pas été non plus), nous n’allons simplement pas y prêter attention. De plus, le fait que nous respirions naturellement et continuellement (heureusement sinon vous ne seriez pas en train de lire l’article et je n’aurai pas pu l’écrire non plus!), cela nous empêche de prendre conscience de son importance au-delà de notre survie.

Seulement, il faut savoir que le souffle est à notre survie (enjeux vitaux), ce qu’il est à notre vie également (enjeux sociétales, bonheur, bien-être…) et je vais vous détailler dans cet article pourquoi.

Le souffle au-delà du maintien de la vie

Le souffle est un élément important voir principal dans notre vie. Nous savons que notre survie nécessite de la nourriture, de l’eau et de l’air. Toutefois, il faut savoir que la qualité de ces éléments est extrêmement importante. Le métabolisme ne va pas réagir de la même façon selon ce que l’on a incorporé. Pour ce qui est de l’air,  peu de gens sont conscients du fait que plus nous inspirons d’air et plus elle peut avoir un impact profond sur notre santé.

En effet, la plupart des personnes pensent qu’il nous maintient “simplement” en vie mais le souffle bien maîtrisé et contrôlé peut faire beaucoup de choses y compris contrôler ses émotions, son énergie, son état-d’esprit et sa vie en général.  

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Tout l’élan de ce blog est de vous permettre d’agir à partir de votre source pour expérimenter ce bien-être intérieur même avant de voir des résultats à l’extérieur dans votre vie.

Notre vraie nature c’est d’être heureux, la joie intérieure est notre vraie nature et notre droit de naissance. Elle existe en chacun de nous et se trouve en dessous de nos blocages, pensées, croyances limitantes, émotions négatives…

La joie intérieure n’est pas une émotion, c’est un état. Et cet état peut se vivre même dans les moments difficiles. Un bien-être peut émaner de nul part pour expérimenter la paix en plein milieu (peut-être) du chaos.

La nature et l’évolution de la vie est de nous sentir de mieux en mieux et de plus en plus satisfait. Cependant, comme nous ressentons le besoin d’être toujours plus heureux et satisfait. L’Homme est naturellement poussé à vouloir toujours plus. L’Homme recherche donc naturellement toujours plus, que ce soit : plus de vacances, plus de calme, plus de bien-être, plus de besoins matériaux, et parfois plus d’addiction, plus de nourriture, plus de médicaments, etc. en revanche il veut moins de problèmes, moins de stress, moins de tensions, moins de douleurs…

Nous mettons donc toute une stratégie en place pour nous projeter vers le futur et nous imaginer sans souci. Le seul danger c’est que l’on met tout son pouvoir dans les mains du futur alors qu’il n’existe pas encore et que le seul moment que l’on vit tout le temps, c’est le moment présent. Oui, je vous assure, demain par exemple quand il arrivera, il sera vécu dans le moment présent. Même si c’est notre futur (en prenant notre point de départ maintenant). Si par contre notre point de départ est après-demain, ce sera notre passé. Le passé, le présent et le futur ne sont vécus que lorsque l’on y pense dans le présent. Tout est présent. 

En pensant que le futur sera mieux qu’aujourd’hui, nous ne vivons pas totalement le présent comme il se doit. Au lieu de le célébrer ou d’être dans la détente, nous sommes dans l’attente. Nous pensons souvent à tort que c’est lorsque l’on aura accumulé le plus de choses et le plus de biens et d’expériences possibles qu’on se sentira mieux.

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Les origines des émotions

Autrefois, nous devions nous protéger contre les bêtes sauvages. L’activation de notre système nerveux sympathique qui est relié à la fuite ou au combat, nous était très utile.

Le système nerveux sympathique en réponse au stress, prépare à l’action en changeant la chimie dans le corps : la chaleur du corps monte, le coeur bat plus rapidement, la respiration s’accélère,  le niveau de cortisol (qu’on appelle l’hormone du stress) et l’adrénaline montent pour pouvoir préparer le corps à une bonne condition physique afin de pouvoir soit combattre la bête, soit courir pour la fuir.

Une fois le danger passé, le niveau d’adrénaline et de cortisol descendent, la température du corps et la respiration redeviennent à la normale, la pression artérielle et le rythme cardiaque s’abaissent. C’est à l’inverse le système nerveux parasympathique qui prend place. Il est lié à la digestion et à la relaxation. Ce n’est pas seulement la digestion de la nourriture mais l’assimilation et l’élimination des émotions et des impressions sensorielles que l’on reçoit au quotidien dans les journaux, à la télévision, par son entourage, sur l’ordinateur, etc.

De nos jours, notre stress descend de moins en moins car les bêtes sauvages sont les e-mails, les appels, le patron, la vie qui va trop vite, les enfants, les choses à faire dans la journée…

Le corps reste en alerte 7/7, 24/24, ce qui empêche le mental et le corps de se reposer. Des études scientifiques ont fait le rapprochement entre les maladies et le stress et ont découvert que le niveau de cortisol dans le corps est ce qui cause le plus d’inflammation et que l’inflammation est responsable de la majorité des maladies.

Que sont les émotions ?

Les émotions sont de l’énergie en mouvement. E = énergie et Motion (en anglais) = mouvement

Une émotion est une activité mentale intense caractérisée par une sensation de plaisir ou de rejet qui s’exprime plus fort qu’une pensée et qui cherche à se manifester par le corps. La majorité des gens bloquent presque toujours leurs émotions déplaisantes. Toutefois, l’émotion est déjà dans le corps, c’est pourquoi il est important de prendre conscience qu’elle est là.

Il existe plusieurs façons de l’observer : parfois il faut faire face à elle, l’accepter ou l’exprimer car elle peut créer des blocages en restant dans le corps. Parfois il s’agit de travailler avec l’émotion et la laisser aller afin que l’énergie dans notre corps soit en mouvement et circule librement.

Quand il y a un surplus d’énergie dans la nature, la nature la laisse aller, telle la lave d’un volcan qui jaillit. Il en est de même pour le corps. Le corps a besoin de laisser aller l’émotion pour ne pas y installer de blocages ou de tensions qui peuvent à long terme causer des maladies, du stress ou la dépression.

Quand les émotions (négatives) s’installent, elles sont décrites comme un “Mal – à – dit” : maux/mots à exprimer, émotions non exprimées.

A partir de l’âge de 4 ans, nous avons appris à vivre en société d’une certaine manière et à restreindre la manifestation de nos émotions. Nous gardons souvent tout pour nous mêmes dans notre corps. Au lieu de les faire disparaître elles se renforcent car elles se multiplient. Malheureusement, tant qu’elles ne sont pas vécues pleinement, elles réapparaîtront dans certaines situations de nos vies pour qu’on puisse enfin les comprendre et les extérioriser.

Si nous avions appris certaines techniques depuis l’enfance, nous aurions plus de facilités à exprimer nos besoins à notre entourage, nos proches, nos connaissances et aux autres personnes. Cela éviterait un grand nombre de malentendus ou de choses qu’on pourrait regretter d’avoir dit ou fait.

Comment faire pour libérer les émotions ?

Nous pouvons simplement faire trois choses avec les émotions : les bloquer (les ignorer), les vivre sans ajouter de la souffrance (sans s’en identifier) ou les extérioriser (les vivre avec la souffrance qui va avec). En les bloquant, elles résistent et persistent, en les vivant quelque soit la forme, elles disparaissent. Il s’agit d’accepter les situations qui ne peuvent être contrôlées. Nous pouvons faire disparaître les émotions de manière très rapide si nous pratiquons certains exercices au préalable, car les émotions restent dans le corps en général que quelques secondes mais si elles restent plus longtemps c’est le sentiment qui prend le dessus. Le sentiment c’est le temps passé sur l’émotion (Emotion + Temps = Sentiment). Si nous n’attendons pas que l’émotion se transforme en sentiment, nous pouvons agir avant même qu’elle arrive ou juste après qu’elle se soit manifestée.

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